À Louisia et Marie-Françoise, mes deux sœurs, traduire leurs sentiments… et les miens Souvent aux heures incandescentes du soir, lorsque sombre le temps, En une touche quantique mes yeux sublimés intriquent Et les forges éteintes du jour embrasent orange et pourpre, Comme prennent feu et
Hegel, Cabral et de La Boétie
« Il faut avoir entendu Amilcar Cabral », écrira emphatiquement François Mitterrand[1], un des intellectuels français les plus cultivés de son temps. La formule inter-pelle, entre-appelle. Et au vrai, qui, une fois seule, a entendu Cabral, s’il n’est un sot, celui-là voudra encore l’entendre. C’est pourquoi, nous
Le Cap-Vert, d’hier à Aujourd’hui
Vous trouverez mon intervention au cours d’une table ronde consacrée au Cap Vert dans le cadre de la Quinzaine de la Mémoire et de la Citoyenneté organisée à Mérignac. Bonne lecture !
Cabral, Goa et l’hindouisme
Je partage mes dernières réflexions sur le rapport de Cabral à l’Inde, et à la philosophie indienne. Bonne lecture à toute et tous
Senghor sur Cabral et Pompidou
Appelons, d’entrée de pensée, le questionnement qui fixe notre objet 2 et en cela même oriente notre marche méditative : pourquoi, ou plus exactement, « pour quoi » 3 , c’est-à-dire quelle est la nature, la cause, le motif et la finalité qui ont mené Senghor, le Sénégalais, à
Mitterrand sur la mort de Cabral
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Le chagrin est l’auto contrariété de l’amour
Søren Kierkegaard, le penseur danois, a lancé un bel et magnifique aphorisme : « tout dort paisiblement, sauf l’amour », qui deviendra le titre et l’objet d’un fort beau roman.
L’An 2065, horizon si jamais il en fut !
Je lisais, le 10 janvier 2019, et j’en étais tout saisi. Le roman est audacieux et fabuleux : L’An 2440, rêve s’il en fut jamais 1 , aujourd’hui totalement tombé dans l’oubli. L’intrigue : après un dialogue sur les grands maux que souffre la France du 18ème