Je partage avec vous quelques unes de mes réflexions sur Amilcar Cabral. Bonne lecture.

Je partage avec vous quelques unes de mes réflexions sur Amilcar Cabral. Bonne lecture.
Appelons, d’entrée de pensée, le questionnement qui fixe notre objet 2 et en cela même oriente notre marche méditative : pourquoi, ou plus exactement, « pour quoi » 3 , c’est-à-dire quelle est la nature, la cause, le motif et la finalité qui ont mené Senghor, le Sénégalais, à
Le 27 octobre 2005, à Clichy-sous-Bois (en Seine-Saint-Denis), deux adolescents, Zyed Benna et Bouna Traoré, se cachèrent dans un poste électrique pour échapper à des policiers. Ils furent électrocutés. Une vive émotion s’empara des « jeunes » de banlieues. Une série d’émeutes éclata en France.
Mais, enfin, a-t-on donc si promptement oublié que l’âme des lois transcende le corps des lois ? Dans sa longue quête, Montesquieu précise : « ce n’est point le corps des lois que je cherche, mais leur âme » . Car, sauf élaboration erronée, le
Que peut-être, au vrai, une « Pédagogie africaine » comme transmission (enseignement) des savoirs en relation avec la Gouvernance publique ? Pierre Kipré, comme de coutume, nous livre une réflexion aussi dense que profonde, qu’il nous plaît de mettre en ligne. À juste titre, ses
Pauvre Défà, du profond de ta douleur, combien pleurons-nous avec toi, ta mère. Nous l’aimions tant ! Marcelle était Belle, parmi les grandes beautés, semblables aux Signares que décrit le poète-président dans « Chants pour Signares » (in Nocturnes). Et si ces poèmes n’avaient pas
Søren Kierkegaard, le penseur danois, a lancé un bel et magnifique aphorisme : « tout dort paisiblement, sauf l’amour », qui deviendra le titre et l’objet d’un fort beau roman.