Mitterrand sur la mort de Cabral
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Car il peut servir de modèle universel à ce que doit être tout Président d’une République digne ; d’une République, dis-je, dont le titre n’est ni usurpé et moins encore emprunté par commodité, comme le sont de nos jours maintes « républiques ». Aussi, par
Le temps est venu, quarante-trois ans après son assassinat, de comprendre et expliquer Amílcar Cabral, père de l’indépendance caboverdienne et bissau-guinéenne, coproducteur de l’Angola libre et, comment donc l’oublier, l’un des promoteurs de la Deuxième République portugaise.
Poïétique du Souvenir et itinéraire À Pustine, toujours ! J’irai à Beauregard admirer cet été, L’arbre qui aveugle de tristesse, Avant qu’il ne promette aux ailes du vent Son éphémère de feuilles mortes Et ne tende sur le sol mûrit au soleil Son annuel linceul
À Marie-Françoise, ma petite sœur Pareil au lent voilier du ciel, l’albatros à la large envergure, Recherchant après maintes courses dans l’impassible Éther La paix ventée des récifs ou l’ondulante joie des mers poissonneuses, C’est léger et glissant sur les airs du violon et du
Poème à lire sur fond musical de « Rapsódia de Mornas » du guitariste capverdien Humbertona. À Lucette, la sœur aînée Que disent les Mornas, Lorsque sur le bleu des sodades ondulées, Comme pour épouser l’évanescente fiancée du Temps, Vont solitaires les barques du