Ce texte, dans son ensemble, vise à illustrer comment, dès 1948, un Caboverdien résidant en Côte d’Ivoire alors sous domination coloniale s’engage pour son indépendance, puis de manière active, milite pour la souveraineté de la Guinée-Bissau et des îles du Cap-Vert, en mettant à profit
Vous fûtes, et comme cela demeure, la dame au Sourire, Kel Sorizo d’um sorizo ! Ce sourire d’un sourire. Et sur la façade d’une cathédrale, royale, un ange imite. Car il sait et enseigne que le sourire est l’image du pont vers l’éternité. Mais là-bas,
Mais n’a-t-on donc jamais lu L’Abidjanaise ? Certes plus d’un voire tous l’ont entendue. Et parmi nous, nombreux peuvent aisément en fredonner l’air et voire même en répéter fidèlement les mots. Mais, au fond et en vérité, combien d’entre nous connaissent vraiment le sens de
Cet article médite ce que représente la Diaspora caboverdienne dans la pensée et la praxis de Cabral. Aussi, ne prend-il pas en vue la diaspora bissau-guinéenne qui ne sera que brièvement mentionnée et à propos de laquelle nous avons, il y a quelques mois, prononcé
Aussi loin que le Souvenir garde forte mémoire 1 , je me rappelle que les Français ont toujours voulu me « punir ». Dès mon enfance scolaire. Et pourquoi cette mal intention et, au fond, comment l’ai-je décelée, vécue et toujours surmontée ?
J’ai le plaisir de partager les premières pages de la communication que je prononcerai lors du Séminaire international organisé par l’Académie des Sciences, des Arts, des Cultures d’Afrique et des Diasporas Africaines (ASCAD), qui aura lieu du 27 au 29 novembre 2024, à Abidjan, Côte
À Louisia et Marie-Françoise, mes deux sœurs, traduire leurs sentiments… et les miens Souvent aux heures incandescentes du soir, lorsque sombre le temps, En une touche quantique mes yeux sublimés intriquent Et les forges éteintes du jour embrasent orange et pourpre, Comme prennent feu et
« Il faut avoir entendu Amilcar Cabral », écrira emphatiquement François Mitterrand[1], un des intellectuels français les plus cultivés de son temps. La formule inter-pelle, entre-appelle. Et au vrai, qui, une fois seule, a entendu Cabral, s’il n’est un sot, celui-là voudra encore l’entendre. C’est pourquoi, nous
Penser, à nouveau, les pensées de Cabral, au travers d’œuvres majeures de deux grands penseurs : La phénoménologie de l’esprit de Hegel, paru en 1804, et le Discours de la servitude volontaire ou Contr’un du jeune Étienne de La Boétie, rédigé en 1548, l’auteur n’a
Vous trouverez mon intervention au cours d’une table ronde consacrée au Cap Vert dans le cadre de la Quinzaine de la Mémoire et de la Citoyenneté organisée à Mérignac. Bonne lecture !